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La VREG constate des marges négatives en 2022 pour les fournisseurs ayant des activités de production
02/02/2024
Un rapport récemment publié par le régulateur flamand du marché de l'électricité et du gaz (VREG) a examiné en profondeur la santé financière du marché flamand de l'énergie et des fournisseurs d'énergie. En collaboration avec KPMG, la VREG a réalisé une analyse financière approfondie des comptes annuels de tous les fournisseurs d'énergie actifs en Flandre.
L'étude, basée sur la liquidité, la solvabilité, la rentabilité et le fonds de roulement, a divisé les fournisseurs en catégories sur la base du critère "production d'énergie". Elle a montré que la hausse des prix d'achat de l'énergie en 2022 exerce une pression sur les marges des fournisseurs ayant une production propre et une production de groupe, ce qui se traduit par des marges bénéficiaires négatives avant impôts. En revanche, les fournisseurs sans production sont légèrement plus rentables dans l'ensemble (NDLR : "mais avec des marges néanmoins très limitées").
L'impact des nouvelles taxes sur le chiffre d'affaires et des années moins venteuses en 2021 et 2022 est également apparu, de même que les prix élevés et volatils du gaz et de l'électricité et l'offre d'énergie éolienne plus faible que prévu. Ces facteurs ont affecté les coûts d'approvisionnement des fournisseurs ayant leur propre production ou celle du groupe, ce qui a entraîné une baisse des résultats opérationnels et une augmentation des dettes commerciales.
Marc Van den Bosch, directeur général de la FEBEG : "Ces résultats soulignent une fois de plus la fragilité financière du secteur. Ils montrent que la réalité est beaucoup moins rose que ce que beaucoup pensent. Un suivi rigoureux de la situation financière du secteur et une rentabilité suffisante sont essentiels pour assurer la stabilité du marché. Nos entreprises ont besoin d'un socle financier solide pour investir dans la transition énergétique."
L'impact des nouvelles taxes sur le chiffre d'affaires et des années moins venteuses en 2021 et 2022 est également apparu, de même que les prix élevés et volatils du gaz et de l'électricité et l'offre d'énergie éolienne plus faible que prévu. Ces facteurs ont affecté les coûts d'approvisionnement des fournisseurs ayant leur propre production ou celle du groupe, ce qui a entraîné une baisse des résultats opérationnels et une augmentation des dettes commerciales.
Marc Van den Bosch, directeur général de la FEBEG : "Ces résultats soulignent une fois de plus la fragilité financière du secteur. Ils montrent que la réalité est beaucoup moins rose que ce que beaucoup pensent. Un suivi rigoureux de la situation financière du secteur et une rentabilité suffisante sont essentiels pour assurer la stabilité du marché. Nos entreprises ont besoin d'un socle financier solide pour investir dans la transition énergétique."